Ce livre s’adresse aussi à tous les professionnels des métiers du bien être et de la forme. J’ espère que tout le monde se l’appropriera en partie tout au moins, les parents confrontés aux plagiocéphalies, au problème de posture de leurs enfants et les adultes concernés par les asymétries.
Plagiocéphalie, torticolis chez le nouveau-né
Approche thérapeutique pluridisciplinaire et décodage postural
La plagiocéphalie est une pathologie de plus en plus présente dans nos cabinets. Elle n’est pas simplement la tête plate visible à l’arrière du crâne.
Si vous êtes confrontés aux situations suivantes :
– Bébé a un torticolis, une plagiocéphalie, une asymétrie du crâne et du visage.
– Bébé a du mal à téter ou mord le sein, ou le lait déborde de la bouche à la tétée
– Votre patient porte des semelles orthopédiques – Une radio montre que son bassin est incliné
– Vous diagnostiquez une jambe plus courte
– Votre patient a une attitude scoliotique
– L’enfant ou l’adulte porte ou a porté un appareil dentaire
– Votre patient a des lunettes pour corriger un œil
Vous aurez des indices d’une asymétrie ou d’une plagiocéphalie
Ces problèmes sont intimement liés, ce livre vous l’explique et vous donne une nouvelle perspective de soin et pour les parents des directions thérapeutiques.
Je réponds à ces questions :
Comment s’expriment les plagiocéphalies, asymétrie et torticolis dans le corps et le crâne ?
L’influence de la grossesse et de l’accouchement sur les plagiocéphalies et la genèse de la plagiocéphalie
La position sur le dos des bébés déclenche-t-elle la plagiocéphalie ou est-elle un simple facteur d’aggravation ?
Que deviennent les plagiocéphalies et comment s’expriment-elles dans la posture et dès le début de la station debout ?
A partir de quand les asymétries posturales crâne et corps sont pathologiques ?
Quel est l’enjeu d’une bonne succion à travers l’allaitement ou du biberon sur la posture et le fonctionnement (ventilation, mastication, occlusion, déglutition, phonation)
Quelle est la place de l’ostéopathe dans le traitement de tous ces problèmes ?
Quelle est la place de la kinésithérapie ?
Comment se relier à toutes les approches thérapeutiques autour de la posture ?
Quelles sont les autres prises en charge ?
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Monsieur,
je me permets de venir vers vous pour savoir s’il vous serez possible de m’indiquer les coordonnées d’une ou un Kiné-ostéopathe ou kiné que vous avez formé sur Nantes (en particulier au Sud de Nantes) ayant suivi votre formation cycle II (avec notamment le thème :Relation plagiocéphalies, torticolis, asymétries et posture du bébé à l’adulte. Intérêt et solutions thérapeutiques chez le bébé comme chez l’adulte”)
En effet, notre fille a aujourd’hui 12 ans mais dernièrement avec la croissance beaucoup de questions, de doutes… nous sont revenues. Dans ses premiers mois de vie, elle a eu des séances de Kiné (torticolis tête à gauche avec pour conséquence une plagiocéphalie) puis 2 séances avec un ostéopathe, mais aucune information précise à l’époque nous a été donnée sur son torticolis, sa plagiocéphalie, les conséquences…
J’ai acheté cet été votre livre “Plagiocéphalie et torticolis chez le nouveau-né”, j’ai ainsi pu un peu mieux comprendre ce qu’a eu ma fille bébé et aussi prendre conscience qu’elle en avait toujours des conséquences.
Elle doit notamment depuis le mois de septembre porter un corset (décision du CHU) pour une scoliose qui a augmenté entre le mois de février et le mois d’août. Elle a aussi au niveau du visage une légère asymétrie…
Nous restons avec nos déceptions de l’époque de ne pas avoir été suffisamment accompagnés, informés par les professionnels rencontrés (mais qui avaient peut-être moins de connaissances sur le sujet qu’aujourd’hui). Les séances de kiné ont bien aidé dans la rotation de la tête, l’ostéopathe “spécialiste des bébés” nous a indiqué qu’elle était complètement en vrille (d’où notamment ses problèmes aussi de RGO) et a travaillé par rapport à ce “problème”. Les remarques de l’ostéopathe faites par rapport à sa plagiocéphalie nous ont fait accepter “difficilement” qu’il n’y avait rien de plus à faire et que ça évoluerait avec le temps (et en plus “caché” avec les cheveux!)…
Mais on ne nous a jamais fait part des éventuelles conséquences et surveillances au niveau dorsal, dentaire…
Nous souhaiterions donc aujourd’hui accompagner au mieux notre fille dans cette nouvelle “épreuve” qu’est la scoliose et surtout le port du corset la nuit.
Je cherche donc aujourd’hui une kiné et un ostéopathe ou une/un kiné-ostéopathe qui pourra nous accompagner avec bienveillance et réelle connaissance sur ce sujet dans le suivi notamment de sa scoliose (en parallèle des rendez-vous au CHU) mais de façon plus générale dans son schéma postural (car comme indiqué dans votre livre je commence à avoir le sentiment que tout est pris individuellement par chaque intervenant dents / dos / lunettes… sans considérer ma fille dans sa globalité avec ses antécédents).
Vous remerciant sincèrement par avance pour l’indication de contacts.
Cordialement.
Bonjour,
En lisant l’histoire de votre fille je comprends mieux mon bébé qui a trois mois aujourd’hui, souffre d’une torticolis et plagiocéphalie depuis sa naissance.. malheureusement mes inquiétudes sur la forme asymétrique de sa tête et son oreille n’ont pas si inquiété les médecins qu’on a pu rencontrer jusqu’à ses trois mois. On a commencé avec le kiné et l’ostéopathe qui a constaté que son bassin droit été coincé mis à part sa torticolis… il a un RGO sévère+une hernie inguinale sur le même côté, donc c’est tout son côté droit qui est touché. Mon bébé va se faire opérer dans 2 jours sur sa hernie et malheureusement ça va retarder le traitement orthopédique… je sais plus à quoi penser ni quoi dire mais j’ai mal pour mon fils…
Je vous souhaite beaucoup de courage pour le reste des soins de votre fille, je serai reconnaissante à votre commentaire toutes ma vie car ça m’a donné des informations que je ne pourrai les trouver chez les plus grands médecins ici à Marseille !
J’étais très déçu aussi par le retard causé par ses professionnels qui ont pu voir mon fils et entendre tout ce que je leurs disais en essayant d’expliquer mon inquiétude et qui de leurs part n’ont trouvé que de me dire que c’est rien, jusqu’à 3 mois de vie où s’est devenu impossible à se faire passer à côté. C’est dommage pour la médecine d’aujourd’hui et grand dommage pour mon fils !
Cordialement